Pastry Stout

ESPRESSO MARTIGNY

Plutôt craftbeers ou cocktails ? Ne t’inquiète pas, notre Espresso Martigny va mettre tout le monde d’accord. Le concept est simple : brasser un imperial stout crémeux et gourmand dans lequel on ajoute 40L d’espresso. Cela nous donne un stout délicieux aux allures de cocktail...

Le mot du brasseur : qui a dit qu’il fallait être diplômé en mixologie pour préparer un cocktail en canette ?

Date de sortie : novembre 2024

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Pack: 12 canettes
CHF 8.90 par canettes de 440ml
Prix de venteCHF 106.80

440ml

ABV : 8%

PASTRY STOUT

IBU : 20

Craft your life. logo mobile white frontier

LE MOT DU BRASSEUR

Espresso Martigny. Cette collaboration n'a été planifiée qu'à la dernière minute, c'est pourquoi le logo du partenaire ne figure pas sur l'étiquette. J'avais besoin d'un café de haute qualité pour reproduire le goût de l'un de mes cocktails préférés, et quelqu'un de notre équipe m'a parlé de Café Moccador, un petit torréfacteur proche de notre brasserie. Bien qu'il y ait eu quelques antécédents entre nos deux entreprises - une ancienne collaboration qui ne s'est pas bien terminée - je voulais montrer que nous sommes une nouvelle équipe et que nous croyons au soutien de nos voisins. C'est pourquoi nous souhaitions vivement qu'ils soient notre partenaire dans ce projet. Leur café est exceptionnel (nous le buvons en production depuis). Ce projet m'a appris que la perception des gens peut changer lorsque l'on fait preuve de respect, que l'on tient parole et que l'on offre quelques bières gratuites.

FUN FACT
Merci à notre brasseur Valério pour les 800 Espressos qu’il a fait couler de Café Moccador, from Martigny. (Quoi?! Tu doutais qu’on ait un torréfacteur ici à Martigny ?).

L'HISTOIRE DE L'ESPRESSO MARTINI
L’espresso Martini tire son origine du barman anglais Dick Bradsell à la demande spéciale d’une mannequin qui souhaitait un cocktail « to wake me up, and fuck me up».

COMMENT LA CONSERVER ?
Toujours au frais (minimum 15° mais plutôt autour des 8°)
Bois la fraîche (environ 7°) et en bonne compagnie.

Et n'oublie pas : CRAFT YOUR LIFE

Pourquoi on adore les canettes ? https://whitefrontier.ch/blogs/la-gazette/cannettes

Ingrédients

Eau, Malts (orge, blé, avoine), houblon (Cascade), levure (US-05), Shots d'Espresso

Aspect/Nez

Une belle robe noire. L’odeur du café tiré lors d’un beau matin d’hiver.

Bouche

Rien ne t’interdit de la déguster dans un verre à MARTINI.

Goût

Acidité


Houblon


Puissance


Fruit


Gamme

Specials – Edition Limitée

Pairing

Bois-le dans un verre à cocktail, en fin de repas ou à l'apéro... Ou avec une boule de glace vanille.

TU VAS ADORER

SAV BONJOUR

Service après vente bonjour...

WhiteFrontier est une petite équipe, nous tentons de répondre le plus rapidement possible à tes emails mais pour gagner du temps, nous avons regroupé la plupart de tes questions et y avons répondu. Si tu as encore des interrogations, n’hésites pas à nous contacter sur shop@whitefrontier.ch

LE DICO BIÈRE

  • Abbaye (bière d’)

    Les abbayes et les monastères ont joué un rôle important dans le développement de la bière en Belgique. La particularité des bières de style Abbaye tient beaucoup des souches de levures avec des esters fruités et des senteurs boisées et épicées. Il y a également souvent un ajout d’épices et de sucre donnant un profil facilement reconnaissable.

  • Ale

    Mot désignant les bières de fermentation haute, en opposition aux lagers de fermentation basse. Aujourd’hui principalement utilisé pour les bières claires ou ambrées.

  • Altbier

    Ale à l’allemande se caractérisant par une longue garde à froid et des malts légèrement grillés. Ce n’est pas du tout une bière vieillie comme son nom pourrait le faire croire mais plutôt par une vieille méthode de fermentation !

  • Acides alpha

    Présents dans le houblon, ce sont eux qui donnent un goût amer à la bière et contribuent à sa conservation.

  • ABV

    Alcohol by volume. Mesure standard de la quantité d’alcool contenue dans une boisson alcoolisée.

  • Agrumes

    Flaveur souvent présente dans la bière grâce aux houblons aromatiques, dans les IPA notamment.

  • American IPA

    Version américaine de l’IPA avec un usage massif de houblons aromatiques, en accentuant les saveurs fruitées. Ce caractère est renforcé par un houblonnage à cru en fin de fermentation.

  • American Pale Ale

    Bière très houblonnée et amère. Moins maltée et moins alcoolisée que sa grande sœur l’american IPA, elle n’en est que plus rafraichissante.

  • American Brown Ale

    Style à dominance maltée avec des flaveurs toastées, caramélisées et chocolatées. Le tout moyennement houblonné et une amertume modérée.

  • Amertume

    Une des cinq saveurs fondamentales. Elle est peu courante dans notre alimentation, et est généralement peu appréciée. Elle apparaît plus intensément à froid.

  • Amidon

    L’amidon est un glucide complexe et est naturellement présent dans les céréales. Durant le brassage l’amidon va être « découpé » en sucres simples, lesquels seront prêts à être fermentés par la suite.

  • Aromes

    Souvent ajoutés pour égayer la bière. On pense aux épices comme la coriandre, aux fruits comme la cerise (kriek) ou même au miel. Également on trouve de plus en plus de vieillissements en fut afin de donner un côté vanillé, épicé, floral…

  • Astringence

    Souvent confondue avec l’amertume, l’astringence est une réaction de crispation des muqueuses au contact de certaines molécules, comme les tanins qui activent la salivation. Dans la bière, on trouve l’astringence dans les malts torréfiés, les houblons et une eau « déséquilibrée ».

  • Avoine

    Pouvant être intégré dans le brassage sous forme de flocons ou de malt, l’avoine apporte de la douceur et un coté crémeux à la bière.

  • Barley wine

    Bière très maltée, caramélisée avec un taux d’alcool supérieur à 10% et un côté houblonné plus ou moins important (english barley wine ou american barley wine).

  • Bactérie

    En complément des levures, certaines bactéries peuvent transformer les sucres du moût et produire des flaveurs inédites  au niveau des acides dans la bière. On note quatre genres de bactéries particulièrement répandues : l’acetobacter (acide acétique), l’enterobacter, les lactobacilles (acide lactique) et les pediococcus.

  • Basse fermentation

    Une des trois grandes familles de fermentation de la bière. La fraîcheur requise par le procédé de fermentation basse a l'avantage de protéger la bière contre les bactéries et les champignons. En revanche, les levures basses produisent moins d'alcool que les hautes, car leur action est ralentie par l'alcool qu'elles produisent.

  • Bicarbonate

    Très important pour le brassage tout grain, sa concentration détermine l'alcalinité totale de l'eau. Cet ion détermine l'acidité de la maische, si le taux de bicarbonate est trop faible la maische sera acide, en particulier avec l'utilisation de malts foncés qui sont plus acides. A l'inverse si le taux de bicarbonates est élevé l'efficacité sera moins élevée.

  • Berliner weisse

    Bière de blé historique berlinoise, faible en alcool et avec une forte acidité lactique. Peu houblonnée et fortement carbonatée, elle peut donner avoir le goût d’une pâtisserie !

  • Blonde (Bière)

    Bière de couleur dorée de haute fermentation, entre 6 et 7 %, souvent d’origine belge. Des notes maltées et des esters fruités qui lui donne une impression de douceur.

  • Brune (Bière)

    Brown ale ou Dubbel

  • Blé (Bière de)

    Wheat ale, Witte ou Weizen

  • Bière

    La dénomination « bière » est réservée à la boisson obtenue par fermentation alcoolique d’un moût préparé à partir du malt de céréales, de matières premières issues de céréales, de sucres alimentaires et de houblon, de substances conférant de l’amertume provenant du houblon, d’eau potable. Le malt de céréales représente au moins 50 % du poids des matières amylacées ou sucrées mises en œuvre. L’extrait sec représente au moins 2 % du poids du moût primitif.

  • Brettanomyces

    Cette famille de levure sauvage est utilisée pour l’ensemencement des styles belges gueuze et lambic, auxquels elle apporte un gout singulier de cuir, d’écurie, de rose ou de géranium.

  • Bitter

    Malgré la définition première du mot, l’amertume de cette bière anglaise sera tempérée par le malt ! Bière peu effervescente, peu alcoolisée, peu sucrée et très facile à boire.

  • Black IPA

    Une bière très houblonnée sur des malts torréfiés pour une finale très amère et très résineuse.

  • Biergarten

    Grandes brasseries en plein air originaires de Munich. Souvent situé dans des parcs, ils disposent de longues tables et bancs en bois. Chacun peut amener sa nourriture mais doit acheter sa bière sur place. Les biergarten sont des endroits très conviviaux pour discuter et boire une bière dès l’arrivée des beaux jours.

  • Brassage

    Etape où le brasseur chauffe et mélange la maische afin que la température reste homogène dans la cuve et que cela permette l’accélération des réactions chimiques naturelles comme l’extraction de l’amidon, des protéines et des enzymes contenues dans le malt.

  • Brown Ale

    cf American Brown Ale

  • Brassin

    Contenu de la cuve de fermentation.

  • Bouteille

    Contenant clé pour le conditionnement de la bière. La bouteille présente l’avantage d’être recyclable. Préférez la bouteille en verre brun qui filtre partiellement les rayonnements lumineux, permettant de limiter la dégradation de la bière. On peut également trouver des bouteilles avec bouchons mécaniques ou capsules.

  • Barrique

    Fut de bois dans lequel la bière va pouvoir vieillir et maturer. La barrique peut être neuve ou avoir contenu d’autres boissons alcoolisées comme du vin, du whisky ou encore d’autres bières. On peut y ajouter également, des fruits ou encore des épices pour donner des goûts différents à la bière.

  • Canette

    Jusque dans les années 1970, le terme « canette » désignait les bouteilles de bière en verre à bouchon mécanique. Il s’applique désormais aux boîtes en aluminium ou en acier.

  • Cervoise

    L’ancêtre de la bière. Brasée à partir de céréales maltées et de plantes aromatiques. La cervoise est ensuite devenue la bière après la découverte et l’utilisation du houblon.

  • Complémentarité (accord)

    Ni miroir, ni contraste, mais une douce alchimie entre le plat et la bière. Pour imager, on utilise la bière comme l’épice du plat.

  • Contraste (accord)

    La bière a des caractéristiques gustatives opposées au plat. Les saveurs du plat sont radicalement opposées à celles de la bière et se valorisent entre elles.

  • Carbonatation

    Il s’agit de la quantité de CO² présent dans la bière. Plus une bière est pétillante, plus la quantité de sucres simples convertis en gaz est importante. Plus il y a de bulles, moins la bière est ronde.

  • Cask

    Mode de service alternatif d’origine britannique. Le principe du cask est de servir une bière vivante, la plus naturelle possible dans un pub et non en bouteille ! On fait donc refermenter la bière à même le cask. La bière en cask est souvent servie à température plus élevée et son effervescence est légère.

  • Culture de levure

    Technique qui consiste à développer et dupliquer des levures avec des levures vivantes contenues dans le fond d’une bouteille par exemple. De plus en plus de brasseurs cultivent et dupliquent leurs propres levures en laboratoire pour avoir leur identité propre et des bières uniques !

  • Cream Ale

    Très proche des american lagers. De couleur très pale et souvent brassée avec du maïs, cette bière peu houblonnée sera très rafraichissante.

  • Double (ou dubbel)

    Brune forte belge. Le terme « double » se réfère à la quantité de malt pour brasser qui allait jusqu’au double de la quantité de la bière « simple ». Bière forte, céréalière, caramélisée et souvent torréfiée.

  • Décoction

    Technique d’empatage qui permet d’accentuer les arômes maltés de la bière. La décoction est basée sur la caramélisation du moût et des céréales en les faisant bouillir. Cela va donner une bière avec plus de corps, plus foncée et avec un gout toasté.

  • Drêches

    Résidu de céréale cuite qui reste dans la cuve après la cuisson de la bière et le soutirage du moût.

  • DIPA (Double IPA)

    Des houblons très aromatiques généralement sur les agrumes, les fruits tropicaux ou la pinède ! Une amertume résineuse intense et une finale alcoholeuse chaleureuse pour cette version impériale de l’IPA !

  • Dunkel

    Style de bière de basse fermentation, sombre, aux notes de pain de grillé, de caramel et de fruits rôtis.

  • Doppelbock

    Lager brune allemande très maltée, sucrée et épaisse. Caractérisée par des notes de toffee et de chocolat, son coté alcoholeux sera réconfortant !

  • Extra Special Bitter

    bière aux malts caramélisés et aux houblons terreux. Plus forte que la bitter anglaise classique, elle a un corps rond et une finale sèche et amère.

  • Eisbock

    Bière rare. Une doppelbock qui a été congelée et à laquelle on a retiré une partie de l’eau gelée. En fondant, on obtient un breuvage beaucoup plus liquoreux et puissant en alcool.

  • EBC (European Brewery Convention)

    ou SRM chez les nord-américains. C’est l’échelle qui permet de classifier les bières en fonction de leur couleur. Plus la bière est foncée, plus son EBC sera élevé. L’échelle allant de 1 à 140.

  • Empâtage

    L'empâtage est la première étape du brassage, qui consiste à tremper et remuer le malt concassé dans de l'eau chaude afin de procéder à l'extraction de l'amidon contenu dans le malt. Le mélange malt concassé et eau s'appelle la maische. Pourquoi empâtage ? en raison de l'aspect pâteux du mélange eau et malt.

  • Ensemencement

    Il s’agit de l’étape où le brasseur met des levures dans le moût pour lancer une fermentation. Il peur s’agir de levures liquides ou de levures sèches qui auront préalablement été réhydratées. Pour les bières de fermentation spontanée, le brasseur n’ajoute rien et laisse faire la nature.

  • Enzyme

    Naturellement présentes dans les grains de malt, elles ont pour rôle de couper les chaines de protéines et d’amidon du malt pour en former des plus courtes (maltose) et plus accessibles aux levures pour une bonne fermentation.

  • Esters

    Molécule aromatique au goût fruité produite par la levure lors de la fermentation.

  • Fermentation

    Etape du brassage pendant laquelle, les levures injectées dans le moût vont consommer les sucres simples et produire de l’alcool, du gaz carbonique et des molécules aromatiques.

  • Froment

    Utilisé comme céréale principale pour les weizen germaniques par exemple ou comme céréale secondaire, le froment (blé tendre) apporte de l’acidité et de la fraicheur à la bière.

  • Fût

    Les établissements servant de la bière en grande quantité et sous pression la conservent dans des fûts en inox, qui ont remplacés les fûts en bois depuis les années 1920. Les avantages sont multiples : prix, solidité, recyclage à l’infini… Il existe également des fûts alternatifs jetables, qui favorisent l’export, comme les KeyKeg ou Dolium.

  • Filtration

    A la fin de l'empâtage, le brasseur filtre la partie liquide appelé moût en la faisant tout simplement passer à travers les matières solides, c'est-à-dire les résidus de malt épuisé (enveloppe des grains, particules insolubles) qui se nomment les drêches. Ces drêches sont ensuite rincées avec de l'eau chauffée afin d'en extraire un maximum de sucres encore présents et améliorer ainsi le rendement.

  • Farmhouse

    Bière rustique, épicée et fruitée d’origine américaine pour répondre aux bières de garde ou Saison produites dans les fermes ardennaises

  • Faro

    Lambic coupé avec du sucre Candy. Des notes citronnées, caramélisées et animales. Une finale acidulée.

  • Garde

    La bière dite "bière verte" est transférée en cuve de garde pour subir une fermentation pendant quelques semaines à température plus faible. Cela permet à la bière de s'affiner, laisse le temps aux levures de finir leur travail, de clarifier la bière, de la saturer en gaz carbonique et aux résidus solides de décanter.

  • Germination

    Les grains vont germer. Ils sont étalés en couches, le taux d'humidité est alors constant (45%) et la température oscille entre 12 et 15°. Il faut veiller à ventiler les couches de grains pour bien maîtriser la température de germination. Celle-ci dure environ 6 jours. On obtient alors un malt d'une couleur verte (malt vert).

  • Grillé

    Souvent associée aux bières ambrées. Il s’agit du malt qui a subit un touraillage intense jusqu’à être grillé, ou rôti. Utilisé en faible quantité moyenne dans le brassage, il donnera un goût toasté, de pain grillé et de caramel à la bière.

  • Gueuze

    Bière née d’un assemblage de lambi jeune et lambic vieux. Franche acidité rappelant le citron et la pomme verte. Notes de foin humide et de vieille grange. Très effervescente.

  • Gose

    Bière acidulée originaire de la région de Leipzig. Elle est traditionnellement brassée avec de l’acide lactique, du sel et de la coriandre.

  • Golden Ale

    Bière facile à boire avec des malts légèrement miellés et peu d’amertume.

  • Grisette

    Cousine minière de la Saison wallonne. Elle est généralement moins alcoolisé mais garde les notes de blé, de paille craquante et de houblons nobles herbacés pour une effervescence abondante et piquante !

  • Gruit

    Bière traditionnellement brassée sans houblon mais des herbes ou des plantes aromatiques

  • Houblon

    Il est entré dans la composition de la bière à la fin du moyen-âge et est très important pour ses propriétés antioxydantes et aromatiques. Les acides alphas et betas qui se dégagent du houblon durant le brassage donnent des résultats gustatifs très variés selon leur proportion dans le houblon. Ainsi chaque variété de houblon apporte sa touche caractéristique à la bière (fruits tropicaux, agrumes, notes herbacées ou florales…). Il est également « responsable de l’amertume dans la bière !

  • Haute fermentation

    Fermentation entre 15 et 25°C qui produit des arômes fruités et épicés pour des bières avec plus de corps et généralement plus fortes en alcool. Les Anglo-Saxons les qualifient de Ale.

  • Houblonnage

    Action d’incorporer du houblon dans la cuve d’ébullition lors du brassage de la bière. Cela donnera l’amertume à la bière et également favorisera les propriétés conservatrices du houblon. Il existe également le houblonnage à froid (ou à sec) qui est fait lors de la fermentation des IPA et qui permet d’extraire les huiles essentielles du houblon et son côté aromatique.

  • Helles

    Lager traditionnelle bavaroise très douce, céréalière avec des notes de pain frais et de houblon noble comme le Tettnang ou l’Hallertau.

  • Imperial stout

    Bière noire chaleureuse et alcoolisée. Son corps est rond et licoreux. En bouche, des notes de café, chocolat, fruits secs et noirs sur une amertume prononcée.

  • India Pale Ale (IPA)

    La légende voudrait que ce soient les colons Anglais, au 18e siècle, qui mettaient beaucoup plus de houblon dans leurs bières afin qu’elles supportent le trajet pour aller en Inde !

  • IBU (International Bitterness Unit)

    Mesure permettant d’évaluer l’amertume d’une bière. Plus la valeur de l’IBU est élevée, plus l’amertume est puissante. L’échelle va de 1 à 150, sachant qu’une bière dépasse rarement les 90 IBU et qu’au-delà de cette valeur, le palais ne décèlera pas plus d’amertume !

  • Kellerbier

    Historiquement cette bière est servie à même le tonneau, non filtrée et gazéifiée de manière naturelle Originaire du nord de la Bavière, cette lager a un côté herbacé séduisant et des notes céréalières subtiles.

  • Kölsch

    Bière de fermentation haute brassé à basse température ! Le terme « Kölsch » est une appellation d’origine contrôlée. Aromatiquement parlant, des notes céréalières légèrement miellés viennent s’harmoniser parfaitement avec des houblons herbacés et une effervescence prononcée.

  • Kriek

    Lambic aux griottes ou cerises sures, cette bière est une spécialité du Pajottenland, à côté de Bruxelles. Des notes prononcées de cerises viennent se mélanger au côté foin, grange typique du lambic pour une finale acide décapante !

  • Lactobacilles

    Bactéries lactiques apportant de l’acidité à la bière. Elles sont plutôt douces et rappellent le yaourt nature ou le petit lait. Elles rafraichissent la finale du produit et augmentent sa buvabilité.

  • Lager

    Terme que l’on utilise pour nommer les bières de basse fermentation. Originaire de Bavière ou de Bohème, ce sont des bières généralement légères et désaltérantes. Elles sont brassées à une température relativement froide (entre 5 et 10°C) et fermentent plus longtemps (autour de 6 semaines).

  • Lambic

    Bière ancestrale de la vallée de la Senne dans l’Ouest Bruxellois. De fermentation spontanée traditionnelle et brassée très souvent dans un coolship. Ce sont les levures sauvages et les bactéries présentes dans la brasserie qui sont à l’origine de la fermentation de la bière et lui donne ses notes typique de foin, de fromage ou encore chevaline tout comme son acidité très vive.

  • Levure

    C’est l’ouvrier de la bière. Via la fermentation, elle transforme le mout en bière. Depuis Louis Pasteur, de nombreuses recherches ont abouti sur de multiples souches de levure. Certaines seront utilisées pour leur profil aromatique, d’autres pour obtenir un taux d’alcool plus élevées par exemple.

  • Malt

    Le malt d’orge représente la céréale principale du brassage. Les malts grillés ou torréfiés sont ajoutés en petite quantité (moins de 20%). Ils donneront des notes de caramel, de café et participeront à la couleur plus ou moins sombre de la bière. Également des céréales comme le seigle, l’avoine ou le blé peuvent être utilisées. Ce dernier étant utilisé dans les recettes de bières blanches.

  • Moût

    Solution liquide, à forte teneur en sucre, obtenue par mélange de malt concassé dans de l’eau chaude.

  • Milk stout

    Stout brassé avec du lactose, ce qui fait vraiment penser à un gâteau au chocolat liquide avec des notes sucrées de chocolat, de café et de caramel.

  • Milkshake IPA

    IPA brassée avec du lactose pour une sensation de dessert tropical ! Un coté assez sucré qui contrebalancera parfaitement l’amertume de l’IPA et en fera une bière très accessible pour les non amateurs de bières très houblonnées.

  • New England IPA (NEIPA)

    IPA brassée avec des levures de la Nouvelle Angleterre qui apportent plus d’épaisseur et de turbidité à la bière. Également une amertume ressentie moins importante que dans une IPA classique ce qui permet aux brasseurs de « charger » encore plus en houblon donnant un côté juicy important à la bière !

  • Orge

    L'orge est la céréale la plus utilisée dans la fabrication de la bière. La sélection de l'orge est très rigoureuse: Importance de la taille du grain, du degré d'humidité ou encore de la teneur en protéines. L'orge de printemps à 2 rangs est privilégiée (le nom provient du nombre de rangs de grains dans chaque épi) par rapport à l'orge à 6 rangs (orge d'hiver) car la teneur en protéines est plus faible et l'usage en brasserie est donc plus propice (bière moins trouble).

  • Oxydation

    Gout de carton mouillé. A l’origine due à une surexposition à l’oxygène, les solutions pour ne pas (ou peu) avoir d’oxydation sont de limiter l’exposition du mout à l’air  après la fermentation et/ou attendre moins longtemps avant de  servir la bière !

  • Pale Ale

    Terme britannique qui désigne une bière blonde foncée, de fermentation haute (par opposition aux lagers), légère et facile à boire.

  • Pilsner

    Style de bière largement diffusé, de basse fermentation et répandu en Allemagne et Europe de l’Est. Son nom est originaire de la ville de Plzen et sa fameuse Pilsner Urquel. En général ce sont des bières claires, légères, plus ou moins amères et des notes prononcées de céréales.

  • PH

    Il est important de contrôler le pH de son eau pour une saccharification optimale. Si le pH est trop haut, le goût du malt est moins prononcé, si le pH est trop bas, la bière aura moins de corps par exemple. Le pH de l’eau est important également pour le niveau d’amertume de la bière ou encore le travail des levures.

  • Phénols

    Molécule aromatique au goût épicé produite par la levure lors de la fermentation.

  • Protéine

    Présente naturellement dans les céréales comme une épaisse couche que le maltage va permettre de « casser » pour libérer l’amidon.

  • Porter

    Style anglo-saxon, cousin du stout, de couleur noire et avec des notes torréfiées de café, de cacao, de pain grillé et de caramel. Pour comparer au stout, il peut être moins rond et moins alcoolisé, ceci surement du à son absence d’orge non maltée torréfiée.

  • Porter baltique (ou Baltic Porter)

    Contrairement aux porters et stouts, c’est une bière de fermentation basse. On peut lui trouver des similitudes au Doppelbock allemand avec des notes de chocolat, de réglisse, de noisette et un degré d’alcool plus important.

  • Résonnance (accord)

    La bière reflète les caractéristiques gustatives du plat. Il y a une similitude entre les saveurs du plat et celles de la bière. On note alors une amplification des sensations et des nuances gustatives des deux produits.

  • Refermentation en bouteille

    Façon simple et peu couteuse de rendre une bière effervescente ! Elle se pratique sur des bières contenant encore des levures vivantes dans lesquelles va être rajouter du sucre juste avant la mise en bouteille. Une nouvelle fermentation va s’opérer avec de nouveau création d’alcool et de gaz carbonique.

  • Retro-olfaction

    Lors de la dégustation d’une bière, la rétro-olfaction consiste à expirer par le nez une fois que vous avez avalé une gorgée de bière. Les aromes remontent vers les fosses nasales avant d’être analysés par les cils olfactifs. Il s’agit donc d’une deuxième appréhension de la bière par l’odorat.

  • Red ale (ou Irish Red Ale)

    Bière rousse ambrée d’origine irlandaise. Des notes céréalières toastées et caramélisées pour pas mal de sucres résiduels et peu d’amertume.

  • Rouge des Flandres

    Cousine de la Brune des Flandres, elle se distingue par une acidité plus franche. Bière très vinaigrée, boisée et tannique, elle se caractérise par un vieillissement en barrique et l’usage de lactobacilles lui donnant ce profil aromatique typique.

  • Saccharomyces

    Nom des levures traditionnelle de bière. Il faut distinguer deux types de saccharomyces : Cerevisiae pour les fermentations hautes et Uvarum pour les fermentations basses.

  • Saison

    Comme son nom l’indique, c’est une bière destinée à « abreuver » les travailleurs durant la saison agricole en Wallonie au 19e s. Elle a un caractère fermier grâce à une levure typique et un houblonnage important. La finale sera franche amère et sèche.

  • Schwarzbier

    Pour vulgariser, on peut dire que la Schwarzbier est une Pils noire. Une bière sèche, facile à boire avec des malts torréfiés et des notes de pain presque brulé !

  • Scotch ale (et Wee Havy)

    A l’origine ce terme désignerait une bière forte destinée à l’exportation et brassée au 18e s. en Ecosse. Dans la recette, ce sont des bières qui subissent une phase d’ébullition prolongée, ce qui concentre et caramélise le moût. La Scotch ale est donc plus foncée, plus sucrée et son degré d’alcool avoisine les 8%. Aucun rapport, en tout cas avec les whiskys écossais !

  • Smoked porter

    Porter comportant une certaine quantité de malts fumés. Des notes de chocolat noir et de céréales torréfiées pour une finale fumée sur la tourbe ou le bois.

  • Sour

    Bière marquée par une acidité acétique ou lactique. En général le brasseur ajoute des bactéries lactiques pour obtenir une acidité plus importante. Également, il peut faire fermenter sa bière de manière spontanée ou faire un vieillissement en barrique pour obtenir une acidité plus tranchée.

  • Sour aux fruits

    Même base de recette qu’une bière acide. Berliner Weisse, Gose ou encore Lambic dans laquelle le brasseur ajoute des fruits sous forme de jus, de purée ou entiers lors de la fermentation.

  • Strong belgian ale (ou Belgian Strong Ale)

    Bière forte d’origine belge où une plus grosse quantité de malt est utilisée que pour une ale standard. Également une levure différente, et reconnaissable pour ses esters fruités, est utilisée pour pouvoir extraire plus d’alcool et de gaz carbonique.

  • Summer ale

    Pour simplifier, il s’agit de l’opposée de la bière de Noel. Un style qui n’existe pas spécialement mais qui se veut rafraichissant, peu alcoolisé et souvent avec des houblons aux notes fruitées. Et surtout qui se boit en été !

  • Stout

    Un stout est une bière de fermentation haute brassée à partir d'un moût caractérisé par sa teneur en grains hautement torréfiés (malt et orge). La présence de ces grains bien grillés dans la recette confère la couleur foncée à la bière ainsi qu'un goût café ou de cacao.

  • Trempage

    La première étape du maltage. Le grain est baigné dans une eau tiède et il y reste jusqu’à ce qu’il double de volume.

  • Touraillage

    Autre étape du maltage qui consiste à sécher le malt pour stopper la germination. Ensuite une hausse rapide de la température permettra de donner de nouvelles couleurs et saveurs au malt.

  • Triple

    Un corps sec et effervescent relevé par des esters fruités et un côté alcoholeux chaleureux. Le terme trippel ne renvoie absolument pas à une triple fermentation mais plutôt une triple dose de malt et qui suit la logique des singel et des dubbel.

  • Vieillissement (ou Barrel Aged)

    Terme britannique signifiant « vieilli en fût » ou « barriqué ». Ce type de vieillissement  apporte des saveurs complémentaires issues du bois ou des alcools précédemment présents dans le tonneau.

  • Vieille brune (ou Oude Bruin)

    Plus sucrée que sa cousine la Rouge des Flandres, elle ne séjourne plus nécessairement dans des barriques. Elle est tout de même rustique grâce à ses notes de prunes et de raisins noirs et ses notes uniques de vinaigre balsamique.

  • Weizenbier

    La Weizenbier ou Weißbier est une bière blanche de fermentation haute, brassée essentiellement en Bavière dans le sud de l'Allemagne. Titrant entre 5 et 6 % d'alcool, la Weizenbier se distingue par un goût peu amer et une forte teneur en gaz. Également des notes typiques de banane et de clou de girofle. Elle est appelée Weißbier (bière blanche), en particulier en Bavière, en raison de la couleur en surface après fermentation. Le terme est entretenu par la proximité phonétique de weiß (blanc) et Weizen (froment). Elle existe en trois variétés : Kristallweizen(bier), blonde limpide

  • Hefeweizenbier, de couleur claire mais trouble

  • Dunkelweizenbier, de couleur brune.

  • Witbier

    Bière de blé de haute fermentation et d’origine belge. Bière rafraichissante brassée avec 50% de blé cru et adjonction de coriandre et de zests d’orange.

  • Wheat ale (ou american wheat beer)

    Des légères notes de blé et de pain frais contrebalancent avec un coté houblonné plus ou moins prononcé. Cette bière est une interprétation américaine de la weizen allemande sans les esters de banane et de clous de girofle.

  • Wheat wine

    ou vin de blé. Tout simplement un barley wine où la céréale et la typicité principale viennent du blé !

  • Wild ale

    Une bière au côté « sauvage » apporté par les brettanomyces. Une bière très sèche aux notes terreuses, chevalines et de pin. Le meilleur exemple reste l’Orval en Belgique !

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